Il y a un seul monde, constitué de deux niveaux, constamment renouvelables selon le mécanisme de l'enversion.

Tout vient à point qui sait entendre.

La plupart de nos concepts émanent de la conception finie de l'être.

Sans mal, il n'y aurait pas d'être.

Le propre du vulgaire est d'identifier la vulgarité comme affectation intellectuelle et de se rabattre en conséquence sur le mode de vie matériel.

Derrière le négatif, et tout ce qui est indéterminé, se manifeste la potentialité du malléable.

Plutôt qu’interprétative, la vérité est évolutive.

Il y a ceux pour qui la vérité, c'est réussir; et puis il y a ceux qui la cherchent.

Plus une idée met de temps à être reconnue, plus sa qualité se révèle de long terme.

La vie est tragique seulement du point de vue de la vie.

Tout se passe comme si les actions concourent à faire perdurer l'ensemble du réel, de telle sorte que ce qui est ne peut disparaître, mais reste connecté avec ce qui le suit (comme il l'était avec ce qui le précède).

Le fait de pouvoir douter indique qu'il existe autre chose que de l'être.

Est contradictoire, non ce qui est faux, mais ce qui est fini.

Et si c'est Dieu qui vivait une tragédie?