Satan désignerait-il l'anti-incarnation?

Si l'on y regarde bien, les complots sont dénués de véritables commanditaires - et les comploteurs sont des irresponsables plus que des diablotins.

L'élitisme est oligarchique, le progrès implique la croissance de l'intérêt général.

Le réel nihiliste est un réel amoindri.

L'excellent élève exprime la limite de l'académisme, qui pour exceller dans le mimétisme, perd en créativité.

La conscience suppose le contact direct.

Le mimétisme fractionne la responsabilité.

Les opprimés sont des déprimés qui pensent à festoyer leurs malheurs plutôt que d'affronter leur sort.

Le mimétisme institue la compréhension limitée, cernée autour de domaines singuliers et particularistes, refusant l'universalisme.

Le mimétisme aveugle l'usager sur les fonctions supérieures du réel, dont la créativité.

Tout pouvoir qui se fige tourne en dictature : c'est dire s'il est figé, bientôt obsolète.

Limite de l'excellence académique : plus cette dernière se montre sélective, plus elle promeut le mimétisme aux dépens de la forme d'intelligence qui l'englobe, la création.

Le complot ne repose pas sur la concertation explicite, mais sur le mimétisme anti-créatif et inconscient.

Les opposés sont identiques.

Slogan de l'épistémologie nihiliste : ne pas connaître pour mieux savoir.

L'éloge de la nécessité cache la déculpabilisation.

La morale signifie que le réel présente une vertu punitive.